Retour sur la chronique radio dans l’émission “Tendances et Influences” sur Chaîne Inter. J’y parle de l’exposition Morozov à la Fondation Louis Vuitton et plus particulièrement du Tryptique Marocain d’Henri Matisse.
Retour sur la chronique radio dans l’émission “Tendances et Influences” sur Chaîne Inter. J’y parle de l’exposition Morozov à la Fondation Louis Vuitton et plus particulièrement du Tryptique Marocain d’Henri Matisse.
Ce week end 4 et 5 décembre 2021, on se retrouve au salon du livre de Boulogne-Billancourt pour deux tables rondes que j’aurai le plaisir d’animer :
On s’y voit ?
20 et 21 novembre 2021.
Comment vous dire, peu de sommeil et beaucoup de rencontres, des échanges aussi riches les uns que les autres, et mon bonheur d’avoir pour les tables rondes que j’animais des auteurs/trices au talent et à la sincérité désarmantes.
Merci à vous tous et toutes de les avoir rendues si faciles et si agréables à mener.
19 Novembre 202A
Entretiens avec :
Merci à tous les trois pour ces échanges!
Dans le cadre du prix des lecteurs et de la fête du livre du Var, j’ai eu la joie d’échanger avec Marie Charrel autour de son très beau roman « Les danseurs de l’aube ».
Dans ce roman à 4 voix, à deux temporalités, l’histoire poignante de Sylvin Rubinstein, danseur de flamenco et résistant, et comment son héritage fait écho à deux jeunes qui se cherchent, une génération plus tard.
Nous étions à la médiathèque de Carqueiranne le 15 octobre à 17h, et la bibliothèque du Beausset le 16 Octobre à 10h.
#fetedulivreduvar, #prixdeslecteursduvar, #mdv83, #culturevar#rencontrelittéraire
Médiathèque Départementale du Var (MDV)
Nous avons parlé de Costa Rica, d’arrachement à la terre, de peinture, d’enfance, d’Inconstance des souvenirs tropicaux. Entourées de vignes, entourées de l’histoire des arènes de Lutèce.
Une écriture poétique à retrouver aux éditions La Manufacture des Livres.
Merci à Nathalie Peyrebonne pour son sourire et l’intensité de notre échange, merci à Delphine Chaume et Franck-Olivier Laferrère pour leur invitation à animer cette rencontre, et ce beau projet de festival littéraire « Des livres et des Vignes ».
Sujet tabou, sujet délicat tant l’art est subjectif. Et forcément se pose par ricochet, mais dans des proportions moindres, la question de la littérature contemporaine.
Extrait page 12 : « Ces trésors du passé furent d’abord réalisés pour adorer un Dieu, ou pour servir un prince. Plus tard, ils furent collectionnés par d’autres princes, ou des bourgeois, mais pour le plaisir. Ils n’étaient pas vus comme un investissement, ils n’étaient pas exposés pour « valoriser la collection » ou pour « développer la marque », ils n’étaient pas revendus cinq ans après leur achat pour réaliser une plue value. Ils étaient gardés jalousement chez soi, pour la délectation personnelle, montrés à un petit cercle d’amis sûrs, plus tard donnés au Louvre ou au Metropolitan pour le bénéfice de la patrie. Ils n’étaient pas aimés parce qu’ils étaient chers, ils étaient chers parce qu’ils étaient aimés. »
Une rencontre haute en couleurs avec un Olivier Bourdeaut à l’image de ses livres : loufoque, humour grinçant, et profondément humain.
Rencontre à la Librairie L’Instant.
Je porte mes identités en moi comme les nations portent leur histoire. Elles sont ma croix, elles sont ma folie. Elles sont ma plus grande bénédiction. Elles sont mes chaînes et mes libertés.
Je te parlerai en dialecte si tu le souhaites, mais on ne m’a pas appris à parler amazigh, pourtant berceau du pays où je suis née. J’ai côtoyé les grands et les plus pauvres, je sais manger à la main ou avec des couverts d’argent. Tu pourras me voir vêtue d’une robe ou d’un caftan. Je me voilerai la tête en entrant dans une mosquée, et la courberai dans une église. J’ai appris à disserter en français et en arabe, dans une même phrase, je peux mélanger les deux, tu t’en étonnes souvent.
Dans mes gênes coule le soleil, le sable du désert et les gloires amazigh, mais le vent et les montagnes y ont aussi fait leur place. Je porte en moi l’histoire des sultans, des rois, des tribus, mais je me nourris aussi de celle de la renaissance et de la révolution.
Alors de grâce, ne me demande pas de choisir. Un cœur qui choisit est un cœur qui se brise.
12 épisodes en format court, 360 minutes d’immersion dans les combats intérieurs de Marianne et Connell, dans leur attachement qui se heurte à tous ces obstacles ordinaires : la société, le qu’en dira-t-on, la solitude, même quand on est deux (surtout quand on est deux), le rang social, la dépression.
Bref, une merveille.
« Normal people », adaptation du roman du même nom de Sally Rooney.
Crédit Photo : BBC3