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Le Calame de Selma

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A propos

Amoureuse des arts en général, des mots en particulier, je leur dédie un espace où vous trouverez pêle-mêle, au gré de vos envies : chroniques sur des livres, des auteurs ou des expositions qui m'ont marquée, des billets d'humeur sur des sujets d'actualité qui m'interpellent, des créations, courtes ou non. En bref, tout ce qui m'anime depuis quelque temps, depuis toujours, sans censure ni jugement. Une partie de moi se glissera entre les lignes, ceci est une invitation à vous y perdre. Je vous souhaite une très bonne lecture.

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lecalamedeselma

Programmation et médiation culturelle.
Curatrice salon du livre de Tanger 2023
Entre autres choses
📍Paris - Rabat

En bonne rbatia qui se respecte, je n’ai jamais

En bonne rbatia qui se respecte, je n’ai jamais aimé Casa. Casa pour moi c’est une rue, deux maisons qui se font face et les cousins qui courent entre les deux. Le reste, la circulation, le surpeuplement, les Mme Tazi de Gad, la saleté, les klaxons, et les taxis rouges : bof bof.

Sauf que. Casa est l’une de ces villes qui ne se dévoile qu’à ceux qui lèvent les yeux. Elle ne se livrera qu’à celui qui la questionne. Trop longtemps délaissée pour ses cousines du sud ou du nord, elle sait que sa beauté à elle n’est pas factice, qu’il faut un effort pour la voir, qu’elle ne se joue pas en surface mais dans le secret de son histoire.

Et son histoire, elle la cache derrière un rempart ou les rides d’une vieille dame, dans les vestiges architecturaux de l’exclesior, dans les interstices de l’avenue Mohammed V, qui, à elle seule, raconte tous les mouvements architecturaux modernes. Ses secrets, elle les enferme dans la vieille médina, là où le wydad est né, là où le protectorat a démoli le mellah, brisant des années de cohabitation entre les juifs et les musulmans.

Si tu fermes les yeux, tu imagineras peut-être le Vox qui surplombait la place des nations unies, tu liras les strates d’une politique d’urbanisme qui n’a jamais réussi à aller au bout de la ville, tu entendras les coups de feu qui ont ensanglanté ses rues lors des émeutes des carrières centrales.

Alors je ne dis pas que tout d’un coup j’aime Casa. mais je la comprends, je l’honore et je la respecte. Elle est pleine d’une histoire ignorée que de gracieuses âmes travaillent à déterrer et transmettre, elle est grande par sa résistance à ceux qui, trop vite, ont voulu s’en emparer. Casa est purement, viscéralement marocaine, n’en déplaise aux colons d’autrefois qui ont voulu la modeler à leur image. Comme tout marocain, le chaos fait intrinsèquement partie de sa beauté. Comme tout marocain, elle est imprenable.

Merci à @casapocket.officiel pour la visite guidée qui m’a ouvert les yeux sur une ville que je pensais connaître. Merci à @casamemoire.officiel pour le travail de mémoire. Merci à la jeunesse casablancaise qui fait honneur à sa ville.

#casablanca #الدار_البيضاء #dimacasa #dimamaghrib

Extrait du bouleversant roman d’Eric Fottorino,

Extrait du bouleversant roman d’Eric Fottorino, une déclaration toute en prose à la sœur absente.
« Mon enfant, ma sœur ».
@editions_gallimard
@ericfottorino
#citationdudimanche #citationdusoir #ericfottorino #monenfantmasoeur #extrait #prose

Il y a quelques jours, je passais l’après-midi

Il y a quelques jours, je passais l’après-midi dans cette maison qui n’est ni la mienne, ni celle de mes parents ni celle de mes grands-parents. Je suis étrangère à cette maison et elle me l’est tout autant. J’y viens pour un travail et j’en repars. Aucun lien affectif, aucun souvenir d’enfance.

Pourtant, en sortant, mon frère, quand il m’embrasse, s’attarde un peu plus que de coutume puis me dit : « tu as l’odeur de la maison des grands-parents ». Et c’était vrai. En m’y engouffrant pour la toute première fois, j’avais moi aussi été saisie par cette odeur commune aux intérieurs de nos aînés. L’odeur qui dit le temps ancien, qui te colle à la peau et qui n’a pas de nom.

Combien en reste-t-il des maisons comme ça ? Combien de ces grands parents à l’ancienne ? Ceux qu’on appelle mema et bassidi, qui t’accueillent en kamis et djellaba de laine, te servent le thé et t’appellent weldi et benti ? combien reste-il de ces salons, les seddari réservés aux jours de grande occasion, où il ne fallait jamais s'asseoir sous peine de déchaîner l'ire des femmes de la maison, qui mettaient à chaque fois un jour entier pour les lemmet et les remettre en état ?

Je ne sais pas pourquoi j'écris ceci, peut-être, comme pour tout ce qui ne reviendra plus, avoir l'illusion de le figer un instant, peut-être parce que me bouleverse qu’une simple odeur suffise à dire ce passé commun à toute une génération, et me peine sa disparition inéluctable de la mémoire et des visages, me peine qu’il ne survive que dans des retranscriptions médiocres destinées aux touristes en mal de folklore.

Peut-être enfin, en ce vendredi qui m’en rappelle tant d’autres, heureux, dans des salons comme celui-ci, pour relire ceci un jour, et dire à ma fille « viens, que je te raconte l’odeur d’un vendredi il y a bien longtemps ».

#maroc #enfancemaroc #salonmarocain #seddari #traditionmarocaine #texte #inspiration #bassidi #mema

#مغرب #سداري #جمعة_مباركة

Il m’est arrivé deux coïncidences surprenantes

Il m’est arrivé deux coïncidences surprenantes, liées à deux lectures. La première date d’il y a quelque jours à peine : je finissais « l’art de perdre » d’Alice Zeniter, qui se passe en partie en Kabylie dans les années de guerre d’indépendance puis civile.

Le taxi qui me ramène chez moi depuis Orly se trouve être un monsieur de cette région. Sans qu’il ne sache ma lecture en cours, (et d’ailleurs je ne fais pas le lien tout de suite) il me parle de cette période avec une véhémence qui laisse entendre que la cicatrice est encore béante.

L’autre coïncidence date d’hier : J’ouvre au hasard le dernier livre de Négar Djavadi « la dernière place », et j’absorbe une centaine de pages de ce texte incroyable qui se passe entre Paris et Téhéran. Je me rends compte ensuite que je vais voir demain le spectacle « Cabaret de l’exil : Femmes Persanes ». Le billet est pris depuis une à deux semaines, l’envie d’y aller depuis début septembre.

Alors je reste perplexe. Je ne sais pas pourquoi je relie ces deux événements. Ces deux livres. Peut-être parce que je les ai lus l’un après l'autre (l’un au Maroc l’autre en France), peut-être parce qu’ils parlent de l’exil et que l’exil me parle (dans une moindre mesure, je n’ai pas été forcée à partir, sauf si l’on considère que la société qui vous y pousse est une forme de force), peut-être parce qu’ils parlent de choses complexes sans pathos ni clichés : la (dé)colonisation, le bien et le mal (et cette notion poreuse entre les deux en temps de guerre), peut-être parce qu’ils rappellent (et expliquent par des faits historiques) le rôle de l’occident dans les catastrophes géopolitiques, conséquences de leurs décisions désastreuses de puissants, peut-être parce que ce sont des actes manqués de ma part, peut-être pour rien de tout ça.
Ce qui est sûr, c’est que les sujets m’interpellent, me questionnent, me hantent parfois : le bras de fer épuisant entre le nord et le sud, le loin de chez soi, l’impossible définition de ce « chez soi », le renoncement, et par-dessus tout, les silences de l’Histoire et leurs conséquences sur la génération dont je fais partie.

Et je les retrouve dans ces deux livres, brillamment dits et pensés.

Loading une bonne réserve de vitamine D avant les

Loading une bonne réserve de vitamine D avant les 5 degrés de Paris.

#byecasa #casablanca #maroc #soleilennovembre☀️

Un grand merci au ministère de la culture et de l

Un grand merci au ministère de la culture et de la jeunesse du Maroc pour ce bel événement autour du livre pour la jeunesse et enfants. Cela a été une richesse d’échanger avec des intervenants de grande qualité et de différents horizons pour cette table ronde autour de la littérature jeunesse connectée !

@mjccgov @silej.ma #silej #silej2023 #wearesilej #casablanca #livrejeunesse #jeunesseconnectée
@prunellll @ninasix_ institutcharlesperrault @alexandresanchez.auteur

Rendez-vous mardi 21 novembre prochain pour la pre

Rendez-vous mardi 21 novembre prochain pour la première édition du Salon International du Livre Enfant et Jeunesse de Casablanca, organisé à Anfa Park par le Ministère de la Culture du Maroc.
Avec des chercheurs, auteurs et éditeurs de tous horizons, nous débattrons de la place de la lecture numérique pour les enfants et la jeunesse.

Toutes les infos sur le site du salon silej.ma

#silej #mjcc #silej2023 #anfapark #mjccgov #casablanca #litteraturejeunesse #moderation #rencontrelitteraire #ministeredelaculturemaroc #anfakpark
@silej.ma @mjccgov @ninasix_ @prunellll @alexandresanchez.auteur #anneschneider #najibbougatya

Foire du livre de Brive. Les coulisses. Le train

Foire du livre de Brive. Les coulisses.

Le train des auteurs (ou du cholestérol!), les nuits (très) courtes, la ville médiévale, les taxis à 1h du mat, la pluie, les “faut que j’aille dormir mais en fait non », les échanges, les belles rencontres et la littérature, toujours.

Merci aux organisateurs @ville2brive @foirelivrebrive @faits_et_gestes, aux bénévoles, aux employés de la ville (leur gentillesse et leur disponibilité !!), merci aux auteurs et maisons d’éditions avec lesquels j’ai échangé.
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Brive. Animation d’entretiens et tables rondes.

Brive. Animation d’entretiens et tables rondes. Suite.

@la_minute_begaudeau @emiliefreche @carene_ponte @claire.norton.auteure @emilyblaine1 @mikael_corre @agnesmartinlugand.auteur
#victoriahislop #clementmacarmercier #dominiqueverdeilhan @vichislop

#foiredulivredebrive #brive #brivelagaillarde @faits_et_gestes

Brive. Les animations d’entretiens et l’incroy

Brive. Les animations d’entretiens et l’incroyable chance de tendre le micro à des écrivains et personnalités connues et reconnues.

@iamjuliegayet @tonio_albertini @ericfottorino @thibautso #carolefives #gilleskepel #florenceaubenas #anandadevi

#foiredulivredebrive #brive #brivelagaillarde @faits_et_gestes @ville2brive

Je n’ai pas le cœur à parler de livres. Pourt

Je n’ai pas le cœur à parler de livres.
Pourtant je lis. Beaucoup. Pour trouver de la beauté là où elle peut encore être, pour chercher le reste d’humanité qu’il y a en nous, et je l’avoue, pour oublier, un instant, qu’on tue des civils, qu’on poignarde un enseignant, qu’on bombarde un hôpital, que des gens sont déplacés de leurs maisons, de leur minuscule terre, que d’autres se terrent terrifiés dans des bunkers, que des enfants n’ont rien connu d’autre que la guerre.

Mais il n’y a pas d’oubli, pas d’échappatoire, même dans les livres, même un instant, parce ce que ce qui se passe là-bas ou ici, dit quelque chose de terrible de ce qui se passe en chacun de nous.

Les cœurs saignent et les prières se multiplient. Bien impuissantes cela dit. Et le silence, le terrible silence muselle ceux qui gouvernent tandis que de l’autre côté les cris montent au ciel.

Je ne donne pas cher de nos pauvres âmes, nous qui laissons faire.

« Where be these enemies?—Capulet, Montague,
See what a scourge is laid upon your hate,
That heaven finds means to kill your joys with love,
And I, for winking at your discords too,
Have lost a brace of kinsmen. All are punished.
[…]
A glooming peace this morning with it brings.
The sun for sorrow will not show his head.
Go hence to have more talk of these sad things.
Some shall be pardoned, and some punished. »

Romeo et Juliette, acte V scène 3.

Salam, Shalom, paix sur vous tous.

#peace

Immense coup de cœur pour cette expo au Musée d’Orsay « Van Gogh à Anvers-sur-Oise. Les derniers mois ».

« Le 17 mai 1890, Van Gogh arrive à Paris, après un séjour d'un an dans un hospice pour aliénés à Saint-Rémy-de-Provence, où il s'est fait interner volontairement après plusieurs crises de démence.
Il s'installe dès le 20 mai à Auvers-sur-Oise, un village situé à une trentaine de kilomètres au nord de Paris, où habite un médecin spécialiste de la mélancolie, le Dr Paul Gachet.
Pendant 70 jours, entre confiance et angoisse, il peint et dessine frénétiquement 74 tableaux et de nombreux dessins. Il produit aussi sa première gravure.
Le 27 juillet, en pleins champs, il se tire une balle de revolver et meurt le 29, dans sa chambre de l'auberge Ravoux.
Cette exposition est la toute première consacrée en propre à cette période des derniers mois de l'artiste. »

Il a peint son dernier tableau (dernière photo ici) le jour même de son suicide.

#vangogh #vangoghauverssuroise #auverssuroise #museedorsay #painting #paintings #art #musée #museum #culture #sortieculturelle #museeparis

Éric Chacour fait incontestablement partie des au

Éric Chacour fait incontestablement partie des auteurs incontournables de cette rentrée littéraire. Pour la langue (grandiose) de son écriture, pour ce roman à plusieurs temporalités, pour le mystère qui est admirablement distillé tout au long de l’histoire qu’il raconte.
Mais quelle est cette histoire me direz-vous ? En parler, c’est prendre le risque d’en dévoiler déjà trop.
Mais il sera question de l’Egypte de Nasser puis de Sadat, d’une rencontre qui fera valdinguer plusieurs destinées, d’un narrateur mystérieux, et d’un formidable passage qui raconte l’arrivée des chrétiens d’Orient dans une Égypte brassée et cosmopolite dont je vous mets un extrait ici.

« […] Chrétiens issus de divers rites orientaux, ils étaient originaires du Liban, de Syrie, de Jordanie ou de Palestine.

[…]

Tu évoluais dans ce monde bourgeois et occidentalisé, sorte de bulle allogène de plus en plus anachronique. Elle était l'héritage d'une Égypte cosmopolite et tournée vers l'avenir où les différentes populations d'ascendances lointaines se fréquentaient. Les Levantins se reconnaissaient dans l'éducation européenne des Grecs, des Italiens ou des Français. Ils savaient, comme les Arméniens, le goût ferreux du sang qui précède un exil. Ces choses-là rapprochent. La famille de ton père était de celles qui avaient fui les massacres de Damas, en 1860. Il n'en conservait que son prénom, hommage au quartier chrétien de la porte Saint-Thomas où ses ancêtres avaient vécu, et quelques bijoux, rescapés de la joaillerie qu'ils y tenaient, dont cette montre de gousset qui ne le quittait jamais. Dans l'espoir, sans doute, que vous les transmettiez un jour à vos enfants, il vous racontait, à ta sœur et toi, des histoires d'un autre temps. Elles parlaient de ceux qui vous avaient précédés, arrivés par vagues successives et contribuant à la renaissance intellectuelle du pays qui les accueillait, mais aussi de la domination britannique dont ils s'accommodaient bien et des fonctions prestigieuses qu'ils occupaient. »

#ericchacour #cequejesaisdetoi #philipperey #rentreelitteraire #livre #lecture #egypte
@ericchacour @editions_philippe_rey

C’est soit ça, soit désespérer devant une pil

C’est soit ça, soit désespérer devant une pile à lire qui ne cesse de s’allonger 😁

#quote #citation #bookaddict #livreaddict

Vous pourrez retrouver ici la chronique radio sur

Vous pourrez retrouver ici la chronique radio sur le dernier livre de Jean-Baptiste Andrea « Veiller sur elle ». Au micro de Mouna Benameur, Émission « Chaîne Inter Culture » du 25 septembre 2023.
Merci pour l’invitation !

Lauréat prix Roman Fnac et sélectionné dans la première liste Goncourt.

@ed_iconoclaste #jeanbaptisteandrea #veillersurelle #chroniqueradio #chroniquelitteraire #roman #ideelecture #rentreelitteraire #chaineinter #chaineinterculture #radiomaroc #radiomarocaine #lecturepourtous
#selectiongoncourt #prixromanfnac2023 #prixromanfnac

Que se passe-t-il dans la tête de ceux qui ont co

Que se passe-t-il dans la tête de ceux qui ont collaboré avec le régime nazi ? Dans la tête de celles qui ont aimé l’Allemand en uniforme, qui lui ont fait un enfant ? Est-ce que l’Histoire fait bien de ne retenir que deux camps pour la mémoire ?

« Vous ne connaissez rien de moi » est l’histoire librement romancée de Simone, celle qu’on appelle « la tondue de Chartres », immortalisée par un photographe anglais alors qu’elle est jetée à la vindicte populaire lors de la libération. Motivée au départ par l’admiration de la grandeur de l’Allemagne en opposition à la vie misérable que sa famille menait, puis par la faim et le froid, elle se met au service de l’occupant comme interprète. Puis tombe amoureuse d’un officier allemand - libraire, un homme loin des représentations de l’officier du régime d’Hitler.

Et si ce que relate l’autrice de la vie de Simone était vrai ? si elle n’a en fait jamais dénoncé ses voisins mais qu’elle n’a rien fait pour les aider non plus ? Si elle n’avait réellement pas de conscience nationale et que son crime était de travailler pour l’ennemi d’abord par orgueil puis par nécessité, et d’aimer un officier allemand, méritait-elle d’être mutilée, tondue, jetée à la vindicte avec son bébé de trois mois dans les bras ?

Que peut-on pardonner ? Où tracer la ligne de l’explicable ? Doit-elle être tracée d’ailleurs ?

Le sujet est sensible tant l’horreur des crimes nazis est insupportable. Et on referme le livre avec ces questions-là, qu’on voudrait ne pas se poser, ce gris entre les deux camps des bourreaux et des victimes, dans lequel se noie l’histoire de Simone et nos questionnements impossibles.

Sur le style d’écriture : le style argotique censé dépeindre le milieu de basse naissance de la famille est un peu trop forcé, cela rend parfois peu naturel, le livre reste toutefois un page turner.

Lauréat Prix Stanislas.
@editionsjclattes @julie.heracles #vousneconnaissezriendemoi #julieheracles #prixstanislas #salondulivredenancy #lecture #rentreelitteraire

J’entre officiellement en hibernation littérair

J’entre officiellement en hibernation littéraire 🙂

#rentreelitteraire #rentreelitteraire2023 #lire #livres #lecture #livrestagramfrance

Hearts and homes are bleeding 💔 La terre a tre

Hearts and homes are bleeding 💔

La terre a tremblé et la montagne a failli. Prières pour toutes les familles des défunts, pour les sinistrés, pour ceux qui espèrent pour leurs vies et la vie de leurs proches.

#maroc #seisme #seismemaroc

Un festival Extra! avec des auteurs et une équipe

Un festival Extra! avec des auteurs et une équipe extras ! (Jeu de mots le plus nul de la terre 😜).
Le festival continue avec une programmation à retrouver sur le site du centre Pompidou.

Merci à Hugo Veronese pour les photos.

Merci @blandine.faure et @jeanmaxcolard pour l’invitation !

Merci aux auteurs pour les échanges et leur disponibilité @dea.liane @aure.lilacroix @chloedelaume_autrice @kev_couleuvre.

@lenouvelattila @editions_cambourakis @editionsdelolivier @editionsduseuil
@centrepompidou @bpi_pompidou #festivalextra #extra2023 #centrepompidou #bpi #bpipompidou #festivallitteraire #rentreelitteraire #rentreelitteraire2023

Vous pourrez réécouter ici ma chronique radio su

Vous pourrez réécouter ici ma chronique radio sur « Les raisins de la colère » de John Steinbeck au micro de Mouna Benameur sur Chaîne Inter Culture.
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